Presse

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Ce jeune artiste fait preuve de maturité et d’élégance.

Robert BATTEY

 

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J’ai été bouleversée par la manière de jouer d’Olivier Moulin qui représente tout ce que j’aime dans la musique: un excellent pianiste doublé d’un vrai musicien. De ce disque consacré à Liszt se dégage une formidable émotion. Une belle technique jamais destinée à en faire trop pour essayer d’attirer l’attention, une rondeur dans les nuances fortes, et son âme qui passe dans ce qu’il joue. Un vrai talent!

Eve RUGGIERI

 

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Sa connaissance parfaite de l’univers de Liszt fait merveille dans ce disque.

Gaëlle LE GALLIC

 

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Derrière un physique de premier communiant, Olivier Moulin cache un tempérament de feu. L’intensité de son programme en témoigne. Il commence très fort avec Debussy qu’il interprète avec une virtuosité époustouflante et une énergie tonitruante. Pour autant, la sensibilité ne lui fait pas défaut. Deux pièces nostalgiques de Liszt et plus particulièrement le « Sonnet de Pétrarque » lui donnent l’occasion de l’exprimer avant une interprétation à la fois poignante et délirante du célèbre « Totentanz ». La transcription que Liszt avait faite de « La danse macabre » de Saint-Saëns et que ce dernier avait joué en hommage à son ami pour le centenaire de Liszt, recueille un tonnerre d’applaudissements. Olivier Moulin est ensuite rejoint par son épouse d’origine japonaise Mikiko. A quatre mains, ils vont offrir au public un final en apothéose avec un rafraîchissant « Carnaval des Animaux » de Saint-Saëns qu’ils interprètent avec autant de brio que de complicité. Le public en redemande. Ce sera alors une danse hongroise de Brahms, dont l’énergie a de quoi assouvir le goût manifeste du couple et son talent pour interpréter des pièces enlevées.

 

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Olivier Moulin révèle, dans le récital Liszt qu’il nous propose, les diverses facettes de son talent. Il confirme, s’il en était besoin, que dans le domaine de l’interprétation pianistique la relève est véritablement assurée. Inauguré par une sardonique « Danse macabre » qui doit beaucoup à Saint-Saëns, son programme Liszt passe par « En rêve » (discret et sobrement lyrique), « Funérailles » (un côté un peu grandiloquent qu’il ne cherche pas à minimiser), « Sonnet de Pétrarque 104 » extrait des « Années de pèlerinage », « Après une lecture du Dante », « Impromptu » (fluidité du discours) et « Nuages gris » (ici très retenus). Il s’achève par la très célèbre « Totentanz » dont la version originale pour piano et orchestre a été esquissée dans les années 1840 et achevée une dizaine d’années plus tard.

 

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Un concert fascinant, du niveau des plus grandes salles parisiennes… une virtuosité monumentale… Pour le public, averti et nombreux, venu écouter le récital de piano donné par Olivier Moulin dans la grande galerie de l’Abbaye de Talloires, c’était « le concert de l’année ». Les éloges ne tarissent pas sur la virtuosité de ce jeune interprète qui a déjà conquis les publics les plus exigeants des festivals internationaux et salles prestigieuses de France, d’Europe, d’Asie et d’Amérique. Une virtuosité exemplaire doublée d’une grande simplicité et d’une générosité naturelle qui l’a conduit à revenir trois fois bissé par le public, après avoir terminé son récital de façon magistrale avec une sublime interprétation de la Totentanz de Liszt.

 

Olivier Moulin est un vrai génie qui n’a pas seulement l’esprit français, mais qui possède également un grand sens de l’architecture et de la construction.

Yosihiko KUSAKABE

 

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David Guerrier, un artiste singulier qui transforme avec son souffle et ses doigts le cuivre en or pur. Il partage l’espace de son domaine d’alchimiste surdoué avec Olivier Moulin, un pianiste d’une magnifique efficacité qui sait à merveille épingler ses notes à l’âme des spectateurs. […] Ce concert est un coup de coeur. Tour à tour sensuels, mélancoliques et oniriques, ils entraînent l’adhésion unanime du public. […] Olivier Moulin apporte sa sensibilité au 2è Cahier des Davidsbündlertanze de Robert Schumann, joué sous l’impulsion intime du coeur.

Michel DECLA

 

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Dès mai 2009, on avait souligné les promesses comme les prouesses du jeune pianiste Olivier Moulin, la trentaine, qui avait déjà la pointure du concertiste : conception rigoureuse des plans sonores, développements bien structurés, phrasés correctement moulés, découpes nettes et sans bavures. Son interprétation, dans le cadre de la 27è édition du Festival jeunes talents, de la redoutable 2è Sonate de Rachmaninov, avait galvanisé le public.
On mesurait ainsi l’ampleur de ses ressources digitales et ses capacités de concentration et d’intelligence du texte. Cet invité des festivals internationaux, qui vient de sortir son disque Liszt et revient de sa tournée au Japon, n’avait plus rien à prouver à son récital du 30è Festival jeunes talents donné en coproduction avec l’Arsenal-Metz en scènes. L’interprète de la Fantaisie en ut majeur de Robert Schumann corroborait les qualités qu’on lui avait déjà reconnues dans ses Davidbundlertänze, jouées dans cette même salle de l’Esplanade.
Qu’a-t-il acquis de plus en deux ans ? L’affinement de ses legatos, de ses ondoiements, calmes, inspirés ou tumultueux, ses crescendos à la Franz Liszt où se déploie son côté virtuose mais qui n’a pas pris la grosse tête. Des Préludes de Debussy, on retiendra la manière subtile avec laquelle il plonge dans le mystère et dans les rêves d’ailleurs dont est baigné Ce qu’a vu le vent d’Ouest, ainsi que les superbes arpèges dessinées d’un doigté sûr, naturel et sans effort, et d’une agilité époustouflante.
C’est le pianiste des climats sonores, des contrastes et des images frappantes mais non agressives, et que l’on retrouvera d’ailleurs dans son Gaspard de la Nuit de Ravel. Avec ses staccatos irréels, et l’étonnante souplesse de son Scarbo qui descend aux abysses où il y dessine des images spectrales, et se livre aux emportements contrôlés, Olivier Moulin a, évidemment, suscité le rappel d’une salle comble. Comme il est plongé dans sa période lisztienne, le Sonnet de Pétrarque ne pouvait que confirmer la marche haute sur laquelle se place désormais cet artiste de la nouvelle génération des solistes français.

Georges MASSON

Un beau récital Fauré, Schumann, Rachmaninov d’une grande finesse.

Philippe GUT

 

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Une véritable épreuve de virtuosité dont triomphait avec panache Olivier Moulin, mettant autant de conviction dans le rendu des thèmes impétueux et fougueux que dans l’inquiétant thème méphistophélique.

 

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Mercredi soir, le pianiste Olivier Moulin a donné un très beau concert pour le festival Piano en Arvor. C’est du très grand piano. Olivier Moulin a une très grande clarté dans le jeu. C’est extrêmement virtuose et puissant.

 

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Ce jeune virtuose possède une technique et un toucher qu’il met au service d’une sensibilité musicale extrêmement développée. Les oeuvres qui figuraient au programme lui ont permis de révéler toutes les nuances et les couleurs de son jeu, laissant les mélomanes présents sous le charme de la musique et dans une sorte d’intimité, voire de communion avec le piano.

 

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Le pianiste français Olivier Moulin nous a offert une excellente prestation mettant en évidence de manière très claire des contrastes allant d’un dramatisme imposant vers des sonorités tendres et romantiques.

 

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Premier à s’installer au piano, Olivier Moulin, 23 ans, le seul Français à avoir obtenu un prix dans la Cité des Images, à offert au public un fabuleux concerto de Liszt, le N°1 en Mib Majeur. De crescendo en crescendo, en solo ou renforcé des cordes ou des cuivres, il a donné le rythme d’entrée, redoublant de force dans les tons graves, étonnant de finesse quand il laissait la partition aller à sa seule mélodie. Un tel exploit que l’on en oublierait la difficulté technique.

 

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Un nom à retenir dans la toute jeune génération des pianistes français : Olivier Moulin n’a que 22 ans et a joué, salle Varèse, le 3ème Concerto de Prokofiev en vrai maître : belle technique libérée de toute contrainte, plénitude des sonorités, domination tranquille de l’écriture athlétique de Prokofiev, sens du discours… De plus, il s’intégrait à l’orchestre comme s’il connaissait tous les pupitres aussi bien que sa partie.

Philippe ANDRIOT

 

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Le troisième concert du « Mai musical » a permis aux mélomanes de découvrir avec bonheur le talent exceptionnel d’un jeune pianiste déjà virtuose, Olivier Moulin. Agé seulement de 21 ans, il a été ovationné par le public, séduit par sa technique éblouissante. Il sera certainement un futur hôte des plus grandes scènes musicales.